Certains indicateurs laissent entendre qu’une personne avec laquelle vous traitez est un client difficile ou risque de devenir difficile. Voici quelques exemples :

 

Un client difficile peut aussi être un fraudeur. Si le client veut vous forcer de sortir de votre zone de confort ou de compétence, vous devez exercer le contrôle sur les relations. Continuez de respecter vos obligations professionnelles prévues par la Loi de 1996 sur le Barreau, les Règles et le Code de déontologie professionnelle, mais réfléchissez à ce que le client vous demande de faire afin de décider si sa conduite et la demande indiquent qu’il s’agit d’une fraude.

 

Ne sous-estimez pas l’ingéniosité des fraudeurs. Vous pouvez être ciblé seulement parce que n’avez pas le filet de sécurité d’un grand cabinet d’avocats. Prenez note en particulier de la règle 3.2-7 du Code de déontologie et les commentaires. L’avocat qui représente un client ne doit jamais sciemment aider ou encourager à commettre un acte de malhonnêteté, une fraude, un crime ou un acte illégal, ni apprendre à un client comment violer la loi et échapper au châtiment. La vigilance est de mise. L’avocat qui a des soupçons ou des doutes doit faire les démarches raisonnables qui s’imposent pour obtenir des renseignements sur le client et sur l’objet du mandat.

 

L’avocat doit prendre garde de ne pas devenir l’instrument ou la dupe d’un client sans scrupules ou d’autres personnes associées à ce client. Dans certaines circonstances, l’avocat est tenu de demander des renseignements. Par exemple, un avocat devrait demander des renseignements au sujet d’un client qui :

 

Vous devez être vigilant pour éviter de participer à une mesure frauduleuse. Vous devriez vous tenir au courant des mesures frauduleuses qui sont prises actuellement à l’égard du milieu juridique et du grand public.